Ptyalisme dans l’érotisme oral

Un étudiant qui finit sa médecine me raconte qu’à chaque fois qu’il va ausculter une femme et dans ce but approche sa tête de la poitrine de celle-ci, il est pris d’un brusque afflux de salive ; en général, sa sécrétion salivaire ne dépasse pas la normale. Je n’ai aucun doute sur l’origine infantile (érotisme oral) de cette particularité (cf. le cas de « pollutions buccales » communiqué par Abraham dans la Zeitschr. f. Psa. IV, p. 71 et sq.).